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 [Travaux] De veritate fidei, chapitre III, livres 3 et 4

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MessageSujet: [Travaux] De veritate fidei, chapitre III, livres 3 et 4   [Travaux] De veritate fidei, chapitre III, livres 3 et 4 EmptyMar 4 Avr - 11:06

Citation :
3 - Où l’on montre qu’ainsi, comme c’est Dieu qui place premièrement les hommes au sein de la cité en leur donnant leur nature d’hommes, c’est aussi Dieu, dont tous les pouvoirs procèdent, qui place les souverains au sommet de leurs royaumes, et qu’en cela le pouvoir des hommes reste toujours soumis à celui de la Grâce.

Ainsi que nous le savons, le Verbe compris que l'homme ne pouvait vivre seul; il lui créa ainsi une compagne et des enfants pour lui tenir compagnie et créer ainsi la première société humaine. Puis l'homme crut, sa race s'agrandit et des sociétés se formèrent et donnèrent naissance à des civilisations brillantes.
Parmi ces civilisation fut celle des Hébreux, unie par l'Arche d'Alliance, et le Verbe leur donna un roi, puis, ce roi ayant déplu, il plaça sa confiance en David.
Pour montrer que David avait sa faveur, il demanda à Samuel d'accomplir un geste symbolique: oindre le nouvel élu de Dieu d'huile sanctifiée pour signifier que la Grâce du Verbe était descendue sur lui.

Citation :
4 - Où l’on montre que comme le peuple précède le souverain dans l’œuvre de la Grâce, c’est en le peuple que réside le principe du souverain, le pouvoir venant de Dieu par le peuple, et qu’ainsi le peuple peut retirer allégeance au souverain, ou en appeler à l’église, dont le roi demeure vassal, si la cité dégénère en tyrannie, ou que le roi cesse d’être vertueux.

Cependant, ce geste, accompli par Samuel à la demande du Verbe ne fut que la conséquence de l'obervation par le Verbe que Saül avait perdu la confiance du peuple.
En effet, le peuple reste le souverain de son destin, et, lorsqu'un roi fut établi en la personne de Saül, c'est le peuple qui le choisit, le Verbe ne faisant que valider ce choix.
De là, on s'aperçoit que le pouvoir royal reste dépendant du peuple dont le Verbe est l'interprète et les hommes d'Eglise, ses auxiliaires sur Terre.
Samuel, en oignant David, montra le rôle des serviteurs de Dieu en ce domaine. De fait, le pouvoir royal reste soumis au contrôle des prêtres qui sont les interprètes naturels de Dieu et du Peuple.
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